jeudi 24 janvier 2008

La mer est plutôt agitée. Le batiment tangue constament. Les jours défilent et se ressemble tous. Seul la vue du jour et de la nuit permet de ne pas oublier le temps qui défile.

L'équipage se porte bien. Lorsque le spleen les touche, ils boivent les quelques litres de rhum ou de vin que je leur accorde et se racconte des histoires.

Quand à moi, je fais passé le temps en apprenant à peindre. Voici mon premier tableau, le Capitaine Sigmort Teucouye et moi-même, le Capitaine Jean de Montigny.



Je discute aussi beaucoup avec le Capitaine Henri Rive. C'est le nouveau Capitaine expert recruté par le bureau de Tampa. Ses compétences peuvent servir au bon moment et il pourrait bien nous sauver la vie un jour. S'il est efficace, malgrès le coût important du recrutement je veillerais a en embaucher d'autres pour les Lys éternels.

J'ai eu aussi le temps de faire le tour de mes entreprises. J'ai dans mes entrepôts de nombreuses marchandises, dont par exemple une vingtaine de têtes de bétaille, qui n'attendent qu'a être transporter dans une autre ville pour un Lys éternel ou à être vendu ou utilisé pour mes futurs production.

Je viens de regardé par le hublot. Il pleut encore.
(des peintures sont à venir)

Lorsque je prie des nouvelles des Caraïbes au quartier général de Grenville, Port de Paix tenait toujours. En revanche Fort de France se voyait être la cible des anglais.
Anglais et pirates en même temps, alors que l'on connait les anglais comme étant très nombreux - ça ne va vraiment pas être évident. Toujours est-il que la situation me préoccupait au plus haut point, d'autant plus que nous n'étions qu'une poignée. Pourquoi sa Majesté le Roi de France nous a ordonné de former les Lys Eternels si c'est pour que l'on ne puisse intervenir de manière concrète dans la conquête des Caraïbes ?

Le ravaitaillement à Grenville fut plus long que prévu. Ne pouvant intervenir dans les batailles qui font rage au sud des Caraïbes, je me décide a voguer vers Pensacola pour régler une ou deux affaires. Là bas, nous convenons d'un rendez vous avec M. Laté qui me fourni pas moins de 80 palettes de tonneaux en chêne. Je vais bientôt pouvoir produire du rhum et du vin de qualité. L'objectif étant de créer des stock de rhum pour ravitailler les ports nécessitants, et du vin pour accroitre notre réputation et attirer les plus grands experts des océans : canonniers, capitaine, et autres spécialistes.

Plus tard, le Capitaine Sigmort nous a rejoint. Nous avons prêté main forte à Jean François Laté pour mener à bien des missions à terre. Mon ego me rappel sans cesse de souligner que je lui est sauvé la vie et heureusement que nous avions avec nous quelques pendages et sel de mer. Cela dit, chaque mission c'est soldé par un succés.
Lors de ces missions j'ai découvert que le Capitaine Laté avait une impressionnante cicatrice au cou, masqué par son collier de cuir. Un vestige des campagnes d'Inde m'a-t-il dit.

post scriptum : moi et mon équipage sommes vraiment frustré. Le Capitaine Sigmort semble aussi l'être. Nous gagnons chaque bataille, qu'elle soit à terre ou en mer, mais nous ne pouvons pas aller au front par manque d'effectif. J'en est touché deux mots au Capitaine Laté. Il semblerait qu'il va activer la machine, mais ce qui est plus que gênant c'est que le temps de recruter, les villes seront déjà aux mains des pirates et des anglais.

mercredi 23 janvier 2008

Les navires annoncés sont bien arrivés dans la journée. L'agitation autours des ports ne s'est pas fait attendre. La France ne semble pas tant que ça en difficulté comme je pensais que cela allait arrivé et heureusement. Cela dit, l'ennemi est quand même présent. Non loin de Tortuga, dite "La Cité des Pirates", se trouve Port de Paix. En une journée, il y a eu une quantité importante de batailles dans les eaux alentours. Port de Paix n'est pas encore affecté, mais la France doit réagir au plus vite.

Mon équipage à rejoint le Capitaine Sigmort et son équipage pour mener à bien une mission de reconnaissance. Les eaux de Port de Paix étaient tout simplement infestées de pirates. Nous avons combattu un moment jusqu'à réaliser qu'il fallait une plus grosse escadre pour ne serait ce que tenter d'endiguer l'ennemi. C'est alors que nous nous sommes alliés à d'autres français de la région, notamment Louis le corsaire et Louis le marchand, montant ainsi une escadre conséquente. Nous avons eu beau nous attaquer à d'énormes frégate, à de nombreuses reprises, à sortir victorieux de toutes les batailles, rien n'y a fait. Le nombre de pirate autour de Port de Paix est resté constant. Je dois malheureusement retourné pour Grenville pour décharger les cales et refaire le plein de boulets ronds lourd.

J'espère que lorsque l'on reviendra sur Port de Paix la situation aura changé...

mardi 22 janvier 2008

Frégate - potbs


C'est avec fierté que j'écris depuis la cabine de l'Amiral, mon nouveau batiment. C'est une petite frégate de vingt canons. Sa coque est en pure chêne massif sortie tout droit des scieries Laté.
L'ensemble est de manufacture française.

Je n'ai pas eu une minute à moi ces derniers jours. La guerre contre les anglais s'est intensifié et nous avons vécu des expériences plus que marquante.

Le Mediator a été pris en tenaille par des pirates dans une crique. L'équipage a bien cru y passer. Moi aussi d'ailleurs. Le batiment ne pouvait plus bougé, échoué sur les rivages de ce cul de sac. Les pirates avaient prêt de cinq batiments rivés sur nous, à canonner notre poupe.
Mais grâce nous avons réussi à dégagé le Mediator et avons renvoyé ces pirates par le fond.

Nous avons aussi combattu de l'anglais. Cette campagne est montée crescendo. Après avoir coulé de nombreux navires anglais, nous avons enfin pu attaquer le port ennemi. Partant de Grenville, nous sommes arrivé au couché du soleil.
C'est à ce moment que j'ai vécu une bataille épique. Jamais je n'avais vécu cela. Ni moi, ni l'équipage.
Des dizaines de batiments tirant à tout va. L'odeur de la poudre se répendait partout dans l'air. Les coques volait en éclat alors que les batiments se croisaient et s'entrecroisaient.
Cette attaque restera gravé dans ma mémoire ainsi que ceux de mes hommes.

Nous en sommes sortie victorieux et j'ai eu l'honneur d'être promu. A ce titre, j'ai reçu un nouvel uniforme, ainsi que cette frégate, l'Amiral.

Cette promotion arrive au bon moment, alors que de nouveaux navires pirates et anglais viennent de prendre l'ancre dans les Caraïbes. La guerre pour la conquête des Caraïbes est désormais ouverte !

mardi 15 janvier 2008

Le calme plat.

Je n'ai pas eu une minute à moi. La construction et la production de mes batiments terrestres me prend un temps fou et n'avance guère.

De plus, la mer es ttrès agitée. La nuit il ne fait que pleuvoir et le jour, c'est très indécis.

Ce sera mieux demain j'espère.

dimanche 13 janvier 2008

"Le Douze" s'avère efficace. Hier, j'ai fait repeindre sa coque en bleu, après que les ouvriers est renforcés celle-ci.

J'ai appris à mon équipage comment on pouvait escorter un navire et ainsi maximiser ses chances de survie. Nous avons aussi beaucoup étudier les batiments ennemis. Chaque matelot du Douze sait à présent faire feu là où ça fait mal. Les coque ennemis resisteront moins.

Enfin, pour l'organisation des Lys éternels, j'ai rédigé un petit manuel pour l'abordage. Si ils appliquent mes consignes à la lettre, ils devraient sortir vainqueur de nombreuses batailles. Ce petit ouvrage est issue de nombreuses années d'expériences, que ce soit à l'école militaire, en méditerranée ou encore dernièrement avec les conversaitons avec M. Laté ou les batailles dans les Caraïbes.

vendredi 11 janvier 2008

Les officiers présents aux Caraïbes m'ont officiellement reconnu et incorporer dans les cadastres locaux. Ma première vraie bataille contre les anglais en Floride fut une écrasante victoire. Celle-ci devrait augmenter ma notoriété dans l'armée française mais aussi dans l'organisation des Lys éternels.

Mon batiment, la corvette l'Aube Eternelle est un bon petit navire. Aujourd'hui nous avons sécurisé le sud de Tampa, prêt d'un port réputé pour être aux mains des pirates. Nous avons, entre autres, abordé de nombreux contrebandiers pirates recherchés dans la région. Lors des attaques, l'Aube Eternelle a subit de gros dommages. L'approche pour les abordages ce sont avérées plus douloureuses que par le passé. La coque n'est pas très résistante, l'accastillage est pauvre et les canons sont de trop petit calibre. C'est pourquoi j'ai décidé de lui offrir une petite retraite anticipée. En ce moment même, j'écris de la cabine de mon nouveau navire "Le Douze". Douze canons flambant neuf !

Les anglais et tout autres ennemis de la France n'ont qu'a bien se tenir.

jeudi 10 janvier 2008

Je viens de passer la soirée avec Jean François Laté. Nous avons dîné au restaurant de Charlesfort, le Havana. Autour d'un verre de rhum, nous avons pu discuter de ce que nous devions mettre en place pour l'organisation des Lys éternels.

Il serait bon que dans les prochains jours nous ayons des objectifs militaire, financier et économique.

Ces trois plans signifient :
- Des villes cibles et prioriatires à défendre ou à attaquer,
- Définir les finances de l'organisation,
- Définir la répartition des bâtiments terrestres, leur priorité, leur utilité


M. Laté semble avoir conscience de l'importance et de la charge de travail à fournir. Sa principale motivation semble être la haine pour ces anglais. Je ne sais pas encore grand chose sur son passé, mais il serait bon que j'en apprenne plus.

Capitaine Jean de Montigny, Rang 11, cabine de la corvette "l'Aube Eternelle"

mercredi 9 janvier 2008

M. J.F. Laté nous à réuni, Sigmort Teucouye le Corsaire, Paul le marchand et moi même, Jean de Montigny de l'armée française.
Nous étions aux pieds de l'église de Charlesfort. Ce que mes supérieurs m'avaient annoncé s'est avéré vrai. Il nous à distribué à chacun un ordre de Sa Majesté le Roi.

Les Lys Eternels. Tel devait s'appeler notre société sur place, aux Caraïbes. L'objectif étant d'assurer la souverainneté de la France, les Lys Eternels réunissent:
- des marchands, devant assurer le développement économique de la région ainsi qu'assurer notre armement,
- des corsaires, pour compléter la flotte française et assurer les missions de bas étages,
- les officiers français, pour assurer la sécurité des Caraïbes.

Capitaine Jean de Montigny, Rang 11, Charlesfort

mardi 8 janvier 2008

Premier jour.

Je viens d'arriver aux Caraïbes. Cela fait maintenant quelques semaines que mon supérieur a reçu un ordre direct de Sa Majesté le Roi de France. Quelques jours après, on m'invitait a rejoindre Charlesfort, au nord des Caraïbes.

Je suis Jean de Montigny, Officier de Sa Majesté le Roi de France. Je suis le Capitaine de la corvette l'Aube Eternelle, un batiment bleu d'une soixantaine de matelots et d'une douzaine de canons.



Issue de l'école militaire de Marseille, cela fait quelques années que je parcours les mers et océans du sud et de l'ouest de la France. J'ai acquis une expérience suffisante pour qu'il me soit offert aujourd'hui, l'opportunité de prouver ma valeur dans les Caraïbes. J'aime les défis. Les pirates, les espagnols et les anglais sont nombreux. Assurer la souveraineté de la France ne sera pas chose aisée, mais je ne me suis pas engagé dans l'armée pour vivre à la douce. Je suis prêt à combattre.

La conquête des Caraïbes commence.


Capitaine Jean de Montigny, Rang 8, Charlesfort.