samedi 16 février 2008

J'écris une nouvelle fois dans ce carnet de bord avec la crainte que ce soit la dernière. Je croyais sincèrement à cette conquête des Caraïbes. Je suis toujours autant motiver à servir mon pays mais le médecin de Tampa semble m'imposer une vérité qui m'empêche de prendre la mer.

D'après lui, je suis atteint d'une maladie très grave qui sévit surtout chez les militaires de carrières ayant vécu une ou plusieurs campagne. Il appel ça le trouble de "WAR". C'est un blocage que fait mon esprit. J'aurais refoulé un fragment de mon passé dans mon esprit. Celui-ci concerne un moment intense, très souvent très violent. L'esprit de l'individu qui vit cet évènement le conserve spontanément dans l'inconscient. Lorsque tout cela refait surface, il y a une sorte de blocage.

C'est ce dont je souffre. J'ai régulièrement des blocages, ne pouvant reprendre la tête de mon bâtiment. Je n'ai pourtant pas peur, mais il clair que je n'arrive pas à reparti sur le front. Nous travaillons, avec le docteur, sur cette maladie, mais je crains que ma carrière militaire soit compromise.

J'ai passé l'annonce en interne auprès des Lys éternels. Le Capitaine Sigmort prend donc la tête de l'escouade et devient ainsi Commandant des Lys éternels. J'aurais vraiment souhaité me battre mais pour le moment je dois me consacré à cette maladie "WAR".

Très solennellement, de la résidence "La Maïoun" à Tampa,
Jean de Montigny, Capitaine à jamais au service de la France.

lundi 4 février 2008

J'ai eu l'occasion de naviguer aux côtés de deux nouveaux Lys Eternels, M. Saldory et le Capitaine d'Aquitaine. Ils ont l'air expérimenté. L'un étant surpenant pour un marchand, l'autre, fougueux mais dur à cuir.

Nous verrons bien sur le long terme.

samedi 2 février 2008

Cela fait maintenant plus d'une semaine que je n'ai pas pu rejoindre mon batiment l'Amiral. Le journal de bord étant resté dans la cabine, je n'ai pas pu retracer les derniers évènements.

Cette semaine je suis resté à Charlesfort pour une formation militaire spécialisée sur la dernière génération de canons adéquat pour les frégates de par leur taille, leur poids et leur efficacité.

Revenons en à ces derniers jours. Une chose m'a frappé. Il semblerait que ma notoriété me rattrape. J'ai notamment rencontré le Capitaine Bobby le Rouge. Il m'avait reconnu. Un homme bien sympathique. Par la même j'ai rencontré son supérieur : Antoine de Trevise. Nous essaierons de nous contacté régulièrement pour coordonner des frappes.

Pour parler des Lys, il semblerait que le Capitaine Laté n'est pas chômé. Effectivement nous restons très (trop) peu nombreux, mais il y a déjà quatre à cinq nouvelles recrues.